Voici le parcours bien détaillé de cette sympathique matinée passée en compagnie de Raphouille la fripouille. 37.88 km (c'est bon ça).
Visible sur calculitineraires : numero 37549. Boucle belge créée par emeric et raph.
La carte du parcours commun.
En ce qui me concerne, je suis arrivé à l'heure (mdr) au point de RDV après avoir roulé 38min et parcouru 17 km. A cela, ce sont ajoutés les kilomètres du retour faits avec un pneu douteux. Puis, arrivé à la maison ma femme dans sa grande bonté, m'a permis de rouler encore une heure. Résultat : je fais péter la barre des 100 puisque j'ai roulé 103.52 km...hihihi...juste pour faire enrager Raph, qui, si mes calculs sont bons doit être à 27+38+27 = 92 km...hihihi...
Certes, tu aurais pu me faire enrager, si je ne m'étais fié à mes souvenirs. En effet, j'ai suivi le canal jusqu'à Helchin, puis j'ai récupéré le Canal de l'Espierre. Tout cela, m'a rajouté plusieurs kilomètres : aller-retour 68 kms ( en arrondissant les angles ... ).
Ce qui porte le total à 38 + 68 = 106 kms. Je sais... Ce ne sont que quatre kilomètres mais ils sont importants !
Je me disais aussi : j'avais l'impression de ne pas arriver à destination ...
Parcours de Raph
Bon, assez de mesurages de bites ... Passons plutôt aux impressions personnelles et à quelques anecdotes croustillantes !
Pour ma part, j'ai démarré à 07 h 45 me disant que j'aurais bien le temps de faire les ( le croyais-je encore au départ) 20 kms du parcours. Premier faux départ à deux pas de chez moi : j'avais oublié mon casque.
Puis, je me lançai à l'assaut du Canal de Roubaix. Chemin classique et connu de moi sur le bout des doigts qui m'a permis de voir les avancements des travaux sur la zone de l'Union. Zigzag entres les travaux, évitement des camps de gens du voyage qui occupaient la largeur du chemin de halage, et me voici sorti de Roubaix.
Après un passage à la frontière au poste de douane ( qui abrite maintenant un café qui m'a l'air, sommes toutes, sympathique ), j'accélère un peu pour ne pas arriver trop en retard. Peine perdue, j'ai beau appuyé un peu, je ne me vois pas approcher du point de rendez-vous.
J'envoie un message pour rassurer mon coéquipier à hauteur de Saint-Luc, et dirige mon regard vers le Mont Saint Aubert qui m'accompagne depuis que j'ai rejoint le Canal de l'Escaut. Il m'a l'air vraiment frondeur, ce mont et pour dire vrai, est devenu pour moi un mythe à affronter un jour.
Bref, me voilà arrivé ... Seulement, Emeric se trouve de l'autre côté. Après avoir traversé une zone en travaux , nous nous rejoignons au pied de la statue d'un homme illustre de la ville de Tournai qui a œuvré dans les champignons et le fougères.
Nous partons ensemble sur un petit train de sénateur ( forcément avec mon VTC .. ) pour une petite boucle autour de Tournai. Direction Antoing par Vaux. Au programme pas de réelles difficultés mais quelques tape-culs de derrière les fagots.
Me méfiant des indications rassurantes d'Emeric ( c'est la dernière montée, on n'est pas loin, c'est un petit faux-plat .... ) je reste concentré pour ne pas relâcher mon rythme.
Nous voici enfin arrivés à Tournai avec au passage quelques vieilles publicités peintes sur les murs.
Nous nous installons à une terrasse de la grand-place où nous commandons le même hamburger accompagné de ses frites le tout arrosé d'une blanche pour mon partenaire et d'une demi-bouteille d'eau pétillante pour ma part ... ( tu verras quand t'auras mon âge ... )
Bref, le temps de rentrer approchait et nous nous arrêtons sur les rives de l'Escaut pour prendre une photo. Quand soudain, c'est l'accident .... Voulant prouver par l'exemple que les trous de construction sont dangereux pour les chambres à air, mon comparse fait passer avec délicatesse sa roue avant dans une crevasse destiné à recevoir prochainement un éclairage par le sol... Mais la roue arrière ne suit pas ... Suit plutôt un pschhhh caractéristique : il avait bel et bien crevé.
Voyant l'heure tourner et n'écoutant que son courage, il me pria de partir , il arriverait bien à s'en sortir même sans pompe adéquate, ni chambres à air correctes...
N'écoutant que le mien, je pris la poudre d'escampette, pour ne pas trop faire attendre ma chère et tendre.
Et me voilà reparti, par le même trop long mais magnifique chemin ... Le vent s'est levé et quelques gouttes ont ponctué ce retour teinté d'une pointe de nostalgie ... C'était vraiment trop court ... Vivement la prochaine !
Visible sur calculitineraires : numero 37549. Boucle belge créée par emeric et raph.
La carte du parcours commun.
En ce qui me concerne, je suis arrivé à l'heure (mdr) au point de RDV après avoir roulé 38min et parcouru 17 km. A cela, ce sont ajoutés les kilomètres du retour faits avec un pneu douteux. Puis, arrivé à la maison ma femme dans sa grande bonté, m'a permis de rouler encore une heure. Résultat : je fais péter la barre des 100 puisque j'ai roulé 103.52 km...hihihi...juste pour faire enrager Raph, qui, si mes calculs sont bons doit être à 27+38+27 = 92 km...hihihi...
Certes, tu aurais pu me faire enrager, si je ne m'étais fié à mes souvenirs. En effet, j'ai suivi le canal jusqu'à Helchin, puis j'ai récupéré le Canal de l'Espierre. Tout cela, m'a rajouté plusieurs kilomètres : aller-retour 68 kms ( en arrondissant les angles ... ).
Ce qui porte le total à 38 + 68 = 106 kms. Je sais... Ce ne sont que quatre kilomètres mais ils sont importants !
Je me disais aussi : j'avais l'impression de ne pas arriver à destination ...
Parcours de Raph
Bon, assez de mesurages de bites ... Passons plutôt aux impressions personnelles et à quelques anecdotes croustillantes !
Pour ma part, j'ai démarré à 07 h 45 me disant que j'aurais bien le temps de faire les ( le croyais-je encore au départ) 20 kms du parcours. Premier faux départ à deux pas de chez moi : j'avais oublié mon casque.
Puis, je me lançai à l'assaut du Canal de Roubaix. Chemin classique et connu de moi sur le bout des doigts qui m'a permis de voir les avancements des travaux sur la zone de l'Union. Zigzag entres les travaux, évitement des camps de gens du voyage qui occupaient la largeur du chemin de halage, et me voici sorti de Roubaix.
Après un passage à la frontière au poste de douane ( qui abrite maintenant un café qui m'a l'air, sommes toutes, sympathique ), j'accélère un peu pour ne pas arriver trop en retard. Peine perdue, j'ai beau appuyé un peu, je ne me vois pas approcher du point de rendez-vous.
J'envoie un message pour rassurer mon coéquipier à hauteur de Saint-Luc, et dirige mon regard vers le Mont Saint Aubert qui m'accompagne depuis que j'ai rejoint le Canal de l'Escaut. Il m'a l'air vraiment frondeur, ce mont et pour dire vrai, est devenu pour moi un mythe à affronter un jour.
Bref, me voilà arrivé ... Seulement, Emeric se trouve de l'autre côté. Après avoir traversé une zone en travaux , nous nous rejoignons au pied de la statue d'un homme illustre de la ville de Tournai qui a œuvré dans les champignons et le fougères.
Nous partons ensemble sur un petit train de sénateur ( forcément avec mon VTC .. ) pour une petite boucle autour de Tournai. Direction Antoing par Vaux. Au programme pas de réelles difficultés mais quelques tape-culs de derrière les fagots.
Me méfiant des indications rassurantes d'Emeric ( c'est la dernière montée, on n'est pas loin, c'est un petit faux-plat .... ) je reste concentré pour ne pas relâcher mon rythme.
Nous voici enfin arrivés à Tournai avec au passage quelques vieilles publicités peintes sur les murs.
Nous nous installons à une terrasse de la grand-place où nous commandons le même hamburger accompagné de ses frites le tout arrosé d'une blanche pour mon partenaire et d'une demi-bouteille d'eau pétillante pour ma part ... ( tu verras quand t'auras mon âge ... )
Bref, le temps de rentrer approchait et nous nous arrêtons sur les rives de l'Escaut pour prendre une photo. Quand soudain, c'est l'accident .... Voulant prouver par l'exemple que les trous de construction sont dangereux pour les chambres à air, mon comparse fait passer avec délicatesse sa roue avant dans une crevasse destiné à recevoir prochainement un éclairage par le sol... Mais la roue arrière ne suit pas ... Suit plutôt un pschhhh caractéristique : il avait bel et bien crevé.
Voyant l'heure tourner et n'écoutant que son courage, il me pria de partir , il arriverait bien à s'en sortir même sans pompe adéquate, ni chambres à air correctes...
N'écoutant que le mien, je pris la poudre d'escampette, pour ne pas trop faire attendre ma chère et tendre.
Et me voilà reparti, par le même trop long mais magnifique chemin ... Le vent s'est levé et quelques gouttes ont ponctué ce retour teinté d'une pointe de nostalgie ... C'était vraiment trop court ... Vivement la prochaine !
2 commentaires:
Super résumé !
Vivement la prochaine, c'est sûr !!! On se planifie ça début juin ? Faudra voir si on se fait une nouvelle formule (avec les voitures) ou si on se rejoint plus tard sur la parcours...wait and see
Oui, c'était vraiment une belle sortie :)
Vivement le mois de juin ;)
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