Attention les yeux ! Le compteur s'emballe cette semaine !
C'est la grande reprise de VTC man qui a battu des records de vitesse sur un parcours toujours aussi exigeant en terme de vigilance, notamment dans la remontée de la rue Solférino de Lille.
Alors, certes le vent dans le dos m'a bien aidé à compenser des mois d'inactivité cycliste, mais j'avoue avoir été surpris de mon coup de pédale.
Le premier départ s'est effectué mardi soir suite à une journée terminée par une réunion d'information pour la poursuite après la 4ème. Dix huit heures sonnèrent et c'est le moment de remercier les parents venus nombreux ( ha ha ha ) et d'enfiler sa tenue de combat. Un temps agréable en dépit du vent qui soufflait plutôt bien. La traversée de Seclin me permit de contempler l'avancement des travaux de requalification de l'axe principal de la ville.
L'arrivée à Wattignies marque l'entrée d'une agglomération phagocytée par l'automobile et l'attention se doit d'être soutenue. La rue Solférino et son cortège de piétons distraits par leur téléphone portable, leur inconscience ou les fesses de la jeune étudiant qui passaient par là, cette rue donc me donne à nouveau des sueurs froides et des raisons d'agacement.
Finalement, le retour se passa sans encombres et le rond-point fatidique fit son apparition sur la fin du parcours. Aucune appréhension ne se fit sentir et l'obstacle maudit fut traversé haut la main ( pour indiquer aux conducteurs que je le quittais dans la direction indiqué par mes doigts tendus.)
Arrivée à deux pas de la maison, un quarté gagnant d'abrutis en goguette ont cherché à jouer au jeu de la peur : un écart pour éviter un cycliste de leur côté de la route et les voici à cheval sur les deux voies. Je m'effaçai sur la droite. Nouvel écart qui les amena en complet contre-sens... Apercevant leurs mines hilares, je me rapprochai d'eux pour leur montrer qu'il ne fallait pas me chauffer niveau respect d'autrui sur la route... Ils cédèrent et jouèrent la sécurité en laissant la place suffisante pour se croiser sans accrocs.
Gâté par la générosité de ma chérie, j'eus l'occasion de prendre hier soir, un deuxième départ hebdomadaire. Et malgré l'absence de compteur, je pus constater en arrivant à bon port qu'un record venait de tomber. Évidemment avec le vent dans le dos et avec une synchronisation des feux routiers en ma faveur, je n'eus aucun mérite.
Pas d'incident à signaler, si ce n'est un pressé qui, voulant dépasser une voiture qui voulait prendre la rue des Postes devant le théâtre Sébastopol, me bloqua la piste cyclable. Et pour la cerise sur le gâteau un impudent coupa la piste cyclable sous mon nez, et sans clignotant ( sinon ce ne serait pas drôle ) pour rejoindre la rue Nicolas Leblanc sur sa droite. Je vous passe la cohorte de candidats piétons au suicide et me voici hors de Lille en route pour la douceur de mon foyer tourquennois.
PS : mon compteur ayant eu des ratés le kilométrage du mardi est erroné. Ayant oublié de le prendre ce jeudi, j'ai estimé à la louche la distance ( merci Google Maps) et avec une précision à la minute près le temps de parcours.
Le premier départ s'est effectué mardi soir suite à une journée terminée par une réunion d'information pour la poursuite après la 4ème. Dix huit heures sonnèrent et c'est le moment de remercier les parents venus nombreux ( ha ha ha ) et d'enfiler sa tenue de combat. Un temps agréable en dépit du vent qui soufflait plutôt bien. La traversée de Seclin me permit de contempler l'avancement des travaux de requalification de l'axe principal de la ville.
L'arrivée à Wattignies marque l'entrée d'une agglomération phagocytée par l'automobile et l'attention se doit d'être soutenue. La rue Solférino et son cortège de piétons distraits par leur téléphone portable, leur inconscience ou les fesses de la jeune étudiant qui passaient par là, cette rue donc me donne à nouveau des sueurs froides et des raisons d'agacement.
Finalement, le retour se passa sans encombres et le rond-point fatidique fit son apparition sur la fin du parcours. Aucune appréhension ne se fit sentir et l'obstacle maudit fut traversé haut la main ( pour indiquer aux conducteurs que je le quittais dans la direction indiqué par mes doigts tendus.)
Arrivée à deux pas de la maison, un quarté gagnant d'abrutis en goguette ont cherché à jouer au jeu de la peur : un écart pour éviter un cycliste de leur côté de la route et les voici à cheval sur les deux voies. Je m'effaçai sur la droite. Nouvel écart qui les amena en complet contre-sens... Apercevant leurs mines hilares, je me rapprochai d'eux pour leur montrer qu'il ne fallait pas me chauffer niveau respect d'autrui sur la route... Ils cédèrent et jouèrent la sécurité en laissant la place suffisante pour se croiser sans accrocs.
Gâté par la générosité de ma chérie, j'eus l'occasion de prendre hier soir, un deuxième départ hebdomadaire. Et malgré l'absence de compteur, je pus constater en arrivant à bon port qu'un record venait de tomber. Évidemment avec le vent dans le dos et avec une synchronisation des feux routiers en ma faveur, je n'eus aucun mérite.
Pas d'incident à signaler, si ce n'est un pressé qui, voulant dépasser une voiture qui voulait prendre la rue des Postes devant le théâtre Sébastopol, me bloqua la piste cyclable. Et pour la cerise sur le gâteau un impudent coupa la piste cyclable sous mon nez, et sans clignotant ( sinon ce ne serait pas drôle ) pour rejoindre la rue Nicolas Leblanc sur sa droite. Je vous passe la cohorte de candidats piétons au suicide et me voici hors de Lille en route pour la douceur de mon foyer tourquennois.
PS : mon compteur ayant eu des ratés le kilométrage du mardi est erroné. Ayant oublié de le prendre ce jeudi, j'ai estimé à la louche la distance ( merci Google Maps) et avec une précision à la minute près le temps de parcours.
Il n'y a pas que moi qui aime les Michelin, même la mairie de Harnes l'exhibe sur son site officielle ( pour info, l'endroit n'est pas aussi joli qu'il en a l'air ! Chapeau le photographe ! )