mercredi 25 août 2010

Auby - Nevers : Etape Nouvion et Catillon - Vieils Maison

Etape numéro 2 : Nouvion et Catillon - Vieils Maisons

Voilà, le départ était donné après un bon petit-déjeuner. Mais il était déjà passé neuf heures quand nous démarrâmes, pour rejoindre un itinéraire plus direct pour récupérer notre objectif du jour : Vieils-Maisons à la pointe du département de l'Aisne.

La route très verte et arborée nous faisait rejoindre les grandes villes, et nous devions rallier Soissons, puis Château-Thierry pour terminer notre parcours du jour. L'étape risquait d'être longue.
La manufacture royale de Saint Gobain
Nous déjeunâmes de sandwichs à la terrasse d'un café de la ville de Saint-Gobain que nous avions rejoint après une jolie traversée dans la forêt du même nom et une terrible montée vers le centre de la ville. Ce repas nous requinqua et nous reprîmes la route en direction de Coucy-le-Château. Après une jolie montée pour quitter Saint-Gobain, nous descendîmes de manière agréable vers Coucy. La traversée de cette ville médiévale fut appréciée et les charmes de cette cité nous auraient retenus plus longtemps si nous n'avions pas encore pas mal de chemin à parcourir. 

La cathédrale de Soissons
Voulant éviter la D1 ( ancienne N37) nous avons rejoint une route qui nous fit traverser de jolis villages du Soissonnais. Les montées furent rudes et les descentes nous amenaient vers d'autres montées rigoureuses. C'est sur cette route que le genou de Mimi se réveilla, et que la blessure à peine fraîche d'un mois lui fit prendre une décision irrévocable : rejoindre la voiture-balai à Soissons où Marie attendait notre passage. La descente vers Soissons fut très agréable et très rapide puis après la photographie d'un panneau Michelin militaire à l'entrée de la ville nous retrouvâmes Marie et Camille sur le parking de la place.
Nous laissâmes Mimi à grands regrets et tentèrent d'accélérer le mouvement car nous étions encore loin du but. Notre idée d'éviter la grand route fut suivie encore pendant un bon moment, et à hauteur de Noyant et Aconin nous quittâmes l'ancien tracé de la N37  pour rejoindre des routes plus sereines qui offraient de beaux paysages et des villages troglodytes le long du tracé. Mais nous nous rendions aussi compte que la route serpentaient et que les kilomètres en plus nous ralentissaient. La décision fut prise de rejoindre la grand-route au niveau d'Oulchy le Château ... Une erreur de lecture de carte nous coûta encore quelques kilomètres mais nous pûmes retrouver une trajet plus rectiligne pour rallier Château Thierry. Après quelques kilomètres, de jolies montées au milieu d'une circulation pas rassurante, nous arrivâmes en vue de Château mais nous dûmes emprunter sur quelques kilomètres une voie rapide (110 km/h) fort heureusement autorisée aux vélos.
Enfin, les hauteurs de Château-Thierry nous tendaient les bras, et la descente vers la Marne ne fut qu'un long et douloureux freinage ; pas facile de se laisser filer avec tous ces feux et stops. Nous traversâmes la rivière puis une fois de l'autre côté nous suivîmes la rive jusqu'à un village qui avait défrayé la chronique pour un écoulement de boue désastreux : Chezy sur Marne. Ce qui nous rassura est que notre destination apparut sur les panneaux à hauteur de Château Thierry, mais la distance nous laissait présager encore une heure de route. Et la dame de la chambre d'hôte ainsi que nos amours nous attendaient avec impatience voire inquiétude.
Repas bien mérité au Clos d'Anna

Nous bifurquâmes plein sud à Chézy et nous entamâmes une montée assez ardue afin d'effacer la colline qui surplombait la vallée. Et malgré la vision revigorante du sex-shop de la ville, nous étions au plus mal et les montées devenaient de plus en plus pénibles à gravir. Mais tant bien que mal et après allumage de nos éclairages, nous pûmes afin amorcer notre descente vers Vieils-Maisons où nous attendait, malgré le retard, un repas délicieux et roboratif. Quel accueil ! Et ce malgré l'arrivée tardive ... Les chambres étaient très bien et nos hôtes plus que parfaits ! Cette adresse est vraiment à retenir dans nos calepins ! Visitez le site du  CLOS D'ANNA !


Une crapule venue grâce à sa maman
Vieils-Maisons fut le théâtre de ce que nous appelons dans le jargon cycliste le jour de repos. Il nous emmènera à la visite du coin avant la reprise du parcours et d'une journée de repos supplémentaire pour Mimi afin de se requinquer pour la fin du parcours mais c'est une autre histoire ...

Auby - Nevers ou le compte-rendu en retard ! Etape Auby-Nouvion et Catillon !

Salut les amis, je vais devoir faire un effort de mémoire assez impressionnant pour vous raconter le périple effectué l'année dernière pour rejoindre la Nièvre lors des dernières vacances estivales.
Pour cela, je vais m'aider des cartes que nous avions préparées à l'époque et tenter de faire ressurgir quelques faits et anecdotes marquants. Quant aux photos, il faudra que je fouille dans mes archives mais elles ne seront pas mises en ligne tout de suite.

ETAPE numéro 1 : Auby-Nouvion et Catillon

Cambrai : Porte de Valenciennes
Un départ matinal mais pas trop nous fit quitter la maison plein d'entrain. Les sacoches étaient pleines et notre petite troupe de trois aventuriers prêts à en découdre. La météo n'était pas trop désagréable : le soleil était présent par moments et le vent ne soufflait pas trop. Après avoir quitté le Douaisis et fait une incursion dans le Pas-de-calais nous nous dirigions vers Cambrai qui devait nous permettre de nous restaurer pour le midi.
Après quelques hésitations sur le parcours après avoir traversé l'ancienne N43 ( en fait ancienne N17) à hauteur d'Epinoy, nous avons retrouvé la bonne route vers la place de Cambrai qui nous accueillait pour un bon plat de pâtes bien mérité. La terrasse était accueillant et la nourriture de bon aloi.


Pause avant Crevecoeur sur l'Escaut
Après ce repas nous nous remîmes en route vers la suite du programme : quitter Cambrai par la départementale qui passait par Crevecoeur sur Escaut et Villers-Outréaux à la frontière avec l'Aisne, route que nous avions parcourue avec Emeric lors de notre périple pour rejoindre la source de l'Escaut. 





 





La traversée de la D932 effectuée nous continuions notre périple qui nous fit passer par de jolis villages et nous passâmes non loin des sources de la Somme qui se trouve ......dans l'Aisne !!!
Ecluse de Ribemont
Après avoir atteint un point de vue qui nous faisait voir Saint Quentin et la montagne de Laon, nous amorçâmes la descente et nous coupâmes le canal à Ribemont, ce qui nous faisait approcher de la fin du périple. Encore quelques kilomètres et nous pourrions nous restaurer bien au chaud de la chambre d'hôte que nous avions réservé à la ferme de la commanderie.
Les nuages s'étaient fait menaçants et quelques gouttes d'eau tombèrent mais ce passage pluvieux fut de  courte durée. La fatigue se faisait un peu sentir mais les jambes tenaient bons. Un mauvais choix de route nous fit prendre une côte difficile qui usa nos mollets aguerris, mais nous finîmes par arriver à Nouvion et Catillon. De là, la ferme de la commanderie nous tendait les bras ou plutôt les jambes à quelques kilomètres.
La dernière montée.
La dernière montée fut fatale mais l'accueil fut agréable et la chambre que nous avions réservée répondait à nos critères : un lit double et un lit simple. Le repas fut avalée et Morphée nous attendait, ouvrant grands ses bras.

Le départ ne put être suffisamment matinale car notre hôte n'était, selon ses dires, plus toute jeune, et cela nous coûta cher le lendemain. Mais c'est une toute autre histoire ...

lundi 23 août 2010

Saint-Martin-le-Noeud Cassel ou le changement de programme.

L'arrivée le dimanche soir à Saint-Martin fut on ne peut plus appréciée. L'accueil fut chaleureux et le repas revigorant. Mais les questions allaient bon train quant à la suite de l'aventure : les affaires auraient-elles le temps de sécher, le genou de Crafton tiendrait-il un tel enchaînement et surtout Fred se sentait-il capable d'un exploit sous la pluie ? Toutes ces questions nous travaillèrent la nuit durant et au petit matin, alors que nous étions prêts à nous lancer, la décision tomba tel un couperet : nous allions reporter le départ.
Cette décision fut finalement une aubaine car cela permit à tout le monde de se requinquer et à nos habits d'être secs. Nous nous prîmes donc une petite journée de repos à la visite de Beauvais et au rechargement des batteries. Après avoir annulé l'étape vers Cucq auprès de nos chères et tendres nous profitâmes du temps finalement clément pour découvrir la cathédrale et les rues de la cité beauvaisienne. Il nous fallut encore peaufiner la route qui annonçait 180 kms sous un temps couvert mais peu pluvieux.
Le départ se fit presque aux aurores et nous avions fiers allure lorsque nous enfourchèrent nos montures pour nous lancer à l'attaque de cette étape une fois de plus d'anthologie.
Fred nous guida sur les premiers kilomètres du tracé car il connaissait le coin comme sa poche. Une première surprise à l'entrée de Beauvais : un blaireau traversa un champ sous nos yeux ébahis et vierges de blaireaux en liberté. La descente et la traversée s'effectuèrent rapidement et sans encombres, puis ce fut la longue route pour rejoindre Auchy-la-Montagne sur la D11 et quitter la trop empruntée D149. 
Après un passage à l'ENVOL, lieu de secours des animaux blessés, où nous nous imaginions sauver quelques hérissons aplatis à coups de bonbonnes d'hélium, nous approchâmes de la première pause pipi face à une borne qui nous indiqua bien que nous étions sur la bonne route.
Et ce fut la longue et agréable route jusque Amiens où les réminiscences de mon premier voyage jusque Beauvais se faisaient plus fortes au fur et à mesure que nous touchions au but. Seul regret : mes éoliennes avaient disparues. La traversée de la ville de Jules Verne s'effectua sans difficulté particulière et nous rejoignîmes la D11 en direction de Pas-en-Artois afin de bifurquer vers Doullens où nous avions prévu faire notre pause déjeuner.
Jolie partie de toboggan avant de rejoindre une route barrée qui nous fit faire un petit mais vallonné détour, puis ce fut l'arrivée à Doullens, ville où nous eurent quelques peines à trouver un lieu de restauration ouvert. Ce fut chose faite grâce à la perspicacité de Crafton qui nous dégotta une petite gargote bien sympathique.
Une fois le repas avalé nous nous remîmes en route pour rejoindre Saint-Pol. Un joli passage dans Lucheux, où faute de faire confiance à Fred, nous fîmes un nouveau détour. Puis ce fut la traversée de la forêt de la ville qui nous amenait dans le Pas de Calais par un joli chemin forestier.
Là, nous séparèrent nos chemins pour traverser un passage herbeux qui ne convenait pas à la monture de Crafton et décidâmes de nous retrouver à Houvin-Houvigneul. Le passage herbeux fut vite avalé et une montée corsée nous attendait de l'autre côté de la grand route. De son côté la monté de Canettemont ne fut pas de tout repos pour Crafton.
De retour ensemble nous atteignîmes Saint-Pol-sur-Ternoise qu'il nous fallut quitter entourés de camions et de voitures. Un petit détour par quelques routes campagnardes, et un nouveau passage sur un terrain difficile pour Crafton,  et nous arrivâmes aux portes du bassin minier en rejoignant Floringhem par une côte qui ne ferait pas pâlir Cassel. Nous avions bientôt effacé les dernières collines de l'Artois et Burbure nous tendait les bras.

La traversée de Lillers faillit être fatale au moral de Fred ... Encore une erreur de navigation de la part de VTCman qui obligea les compères à faire un nouveau détour. De nombreux panneaux Michelin et autres plaques de cocher émaillaient le parcours et je fis une note mentale pour les immortaliser plus tard car les jambes avaient besoin de rouler pour atteindre la montagne de Cassel. D'autant plus que l'heure avançait et que nos petites familles nous attendaient les bras chargés de croque-monsieur croustillants.
Bref Isbergues fut atteinte et ce fut les derniers kilomètres dans le Pas-de-Calais qui furent effectués. Car arriva sous nos vélos endoloris la longue rue D'aire.

Les quinze derniers kilomètres furent une longue et éprouvante ligne droite. Fred avait le nez dans le guidon avec pour objectif de pédaler sans arrêt pour arriver plus vite et mettre fin au calvaire. Crafton attendait sereinement l'arrivée du chevalier blanc qui apporterait un ravitaillement en eau attendu.

Il ne restait plus qu'à monter Cassel, et cette fois ce ne fut pas la rue d'Aire qui mit fin à notre calvaire mais une route certes difficile mais pas infaisable.



Pour finir encore 200 kilomètres parcourus sur la journée, objectif doublement atteint pour Crafton, un exploit sportif pour Fred mais surtout une bonne partie de rigolade et de bons moments partagés !

Vivement la prochaine et que le temps soit clément cette fois !

vendredi 20 août 2010

Mortagne du nord - St Martin le noeud



Il pleut, il mouille c'est la fête à la grenouille... I'm singing in the rain...Purple rain, purple rain... It's raining men... Il pleut, il pleut bergère... etc etc...
Que ce fut pluvieux !!!

Pourtant le départ s'était déroulé sous les meilleures auspices : très peu de vent, une température agréable et des jambes prêtes à avaler les kilomètres. Mais nous mangeâmes notre pain blanc le temps d'effectuer les 35 kilomètres qui nous séparaient de notre première halte, à Hordain, chez Marco. Celui-ci nous permit de nous reposer un peu d'un début d'étape mené tambour battant (pratiquement 20km/h de moyenne) et les 20 minutes passées chez lui autour d'un jus d'orange furent bien agréables. Nous avons d'ailleurs, peut-être, trouvé un nouveau participant à nos périples vélocipédiques...qui sait ?

Mais la suite fut bien plus compliquée : à peine sur nos selles que nous recevions les premières gouttes de pluie de la journée. Nous ne nous doutions pas encore (bien que la météo l'annonçait) que nous allions recevoir des litres de flotte sur nos casques !
Moins d'une heure après, nous étions à Cambrai : théâtre de notre première erreur de parcours et de notre première vraie drache de la journée. Trempés, nous décidâmes tout de même de prolonger la route et de gagner Péronne pour le repas. Après s'être remontés mutuellement le moral, nous sommes enfin arrivés devant la baraque à frites et le PMU de cette "grande" ville de la Somme.
Le temps du repas fut des plus pittoresque et les autochtones nous permirent de nous divertir avant d'attaquer la 2ème partie du parcours : la plus difficile ! L'américain saucisses avalé par Raph et la saucisse frites par moi-même seraient-ils suffisants pour braver le froid tombé sur le nord du pays ?
Pour mettre toutes les chances de notre côté, nous nous changeâmes tant bien que mal (les habits dans nos sacs avaient été eux aussi touchés par la pluie) et remercions encore maintenant le sèche-mains du café ;-)

Et après s'être réchauffés, étonnement, l'après-midi, bien que pluvieuse elle aussi, passa relativement rapidement, au gré de quelques découvertes de panneaux, d'histoires ressorties du passé et de blagues et chansons en tous genres.

En soirée, nous arrivâmes à Fouquerolles, qui marquait officiellement le début la dernière ligne droite de notre parcours. La nuit commençait à tomber et mon inquiétude commençait, elle, à grandir... Étions-nous encore correctement visibles ? Raph me certifiant que nous approchions du but, nous nous lançâmes à l'assaut de Beauvais et de ses pistes cyclables d'un autre temps (non terminées, en travaux, sans accès...etc). Un petit détour par la gare nous fit monter la plus belle côte de la journée (500 m à 11 %) avant de plonger sur le petit village de St Martin le nœud où nous attendaient la famille Soullard.

Il était alors temps de se féliciter d'avoir réussi un bel exploit : 200 km dans la même journée (plus de 18km/h de moyenne malgré la pluie). A ce moment, nous ne croyions pas remettre ça avant quelques temps... et ne pensions qu'à nous réchauffer, nous sécher et surtout sécher nos habits pour l'étape du lendemain. L'avenir et la météo nous obligea à revoir nos plans comme vous le lirez dans le prochain article ;-)

samedi 14 août 2010

Passau : balade le long du Danube.

Après avoir célébré l'union de mon frère et de ma belle-sœur allemande, nous avons profité de leur voyage de noces pour occuper leur logement dans la ville de Passau.
Situé en bordure de Danube dans la vieille ville, leur appartement, peu accessible en voiture, est vraiment très agréable et bien décoré ( il faut dire que ma belle doche est spécialiste en design ! )
J'ai convaincu mon amour à grands renforts de bisous que le parcours auquel j'avais pensé était largement à sa portée. Les méthodes de Crafton sont ici à proscrire : j'ai essayé et ça ne marche pas ... 
Nous avons donc emprunté la rive gauche ( le fleuve s'écoulait dans le même sens que nous et était sur notre droite... j'espère que c'est bien la rive gauche ..) Bref, pour simplifier nous étions côté allemand. Nous avons roulé dans un paysage peu agréable sur les premiers kilomètres mais rapidement nous avons suivi des routes vertes et relativement désertes pour la saison. Après un ennui technique de serrage de selle résolu par un cyclotouriste en transit , mais équipé d'une clé de serrage adéquate, nous avons poursuivi jusqu'à la centrale hydroélectrique de Jochenstein.
Arrivé sur place nous pouvions traverser le fleuve et arrivé côté autrichien. Quatre-vingt-dix marches à effacer, mais tout est bien pensé car des guides sur le côté permettaient de faire rouler les vélos presque sans effort. Après une pause photo, nous avons enfin rejoint le côté autrichien du Danube qui s'est avéré beaucoup plus agréable et mieux aménagé que le côté allemand.
Le retour fut un peu plus dur car les kilomètres commençaient à se faire sentir dans les jambes. Quelques arrêts photos, quelques câlins pour Camille, beaucoup de volonté, et nous voilà de retour à Passau après une jolie boucle. Boucle que nous aurions pu écourter à mi-chemin car un bac entre Passau et Jochenstein proposait le passage pour quelques euros.
Bref un petit morceau de l'eurovéloroute numéro 6 qui relie l'Atlantique à la Mer Noire en quelques milliers de kilomètres ! Le petit livret offert par Ben et qui couvre la partie Passau-Budapest m'a bien servi car très précis et très complet.

Un petit lien qui présente en français cette Eurovéloroute :  Eurovelo6

Rothenburg ob der Tauber

Partis en Allemagne il y a une petite semaine pour le mariage franco-allemand de mon petit frère Ben,mariage remarquable au passage, j'ai décidé de visiter la région de Rothenburg. La vieille ville en elle-même est vraiment magnifique : les bâtiments moyenâgeux ont été conservés ou restaurés à l'identique, les ruelles sont charmantes et  l'on peut emprunter les remparts sur le chemin de ronde.
Le samedi matin avant de me préparer pour la cérémonie, je décidai de partir avec Camille faire un petit tour aux alentours. Je suivis donc les panneaux verts caractéristiques des parcours vélo balisés.
Je sortis de la ville en empruntant une des nombreuses portes anciennes qui ceignent la cité médiévale,et rejoignis la piste qui empruntait sur une partie une ancienne voie ferrée. Etant parti sans carte, je m'arrêtai à Bockenfeld pour visualiser le plan situé devant l'ancienne gare réhabilitée en restaurant. J'avais un impératif : rentrer à temps pour se préparer. A vue d'œil, ça semblait faisable.
Malheureusement je n'avais pas pris d'eau et commençai à sentir la soif, ce qui amoindrit mes performances physiques pour gravir quelques côtes. Arrivé à Insingen, je décidai de raccourcir le parcours et repris une route départementale qui rejoignait Rothenburg plus rapidement.
Au final, un petit tour de 25 kms aux alentours de cette belle cité. J'appris plus tard que j'avais suivi le papillon du vélo qui propose quatre boucles de 70 kms avec des possibilités de raccourcis pour boucler le circuit en 30 kms. Deux des boucles passent par Rothenburg. Plus d'informations sur ce site en allemand : LE PAPILLON CYCLISTE.

vendredi 13 août 2010

Les jambes sont là !!!

Petit moment de solitude ce matin : Lilian étant parti pour la journée avec Papy et Mamie à Paradisio et Titia ayant des choses à faire, j'ai enfourché mon bolide pour faire une sortie de 54 km sous un beau soleil. Moins de 2h plus tard (1h55'05''), je signe une de mes meilleures moyennes. Le parcours vite fait : Mortagne - Wez - Rumes - Bourghelles (avec passage obligé sur les 1.5 km du secteur pavé Gilbert Duclos-Lassale...je l'ai passé à 20 km:h..;ça secoue !!). Puis retour Bachy, Mouchin, Lecelles, Maulde, Mortagne.
Une très belle sortie qui s'est terminée par la même ligne droite que la veille : 35km/h et 30 km/h en haut du pont ;-)
C'est bon je suis prêt pour dimanche.
A bientôt

mercredi 11 août 2010

Une dernière avant la route !!!


Dernière sortie aujourd'hui en solo avant les grandes manœuvres de dimanche, lundi et mardi. 69 km menés bon train (26.5 de moyenne) sur une partie de l'étape phare du début du dernier TdF.
Niveau sensations : une petite alerte à mi parcours concernant mon genou droit (décidément...même genre d'alerte que l'année dernière avant le départ...à croire que la dernière sortie avant le jour J me stresse) et un mal de cul bien trop important et me faisant craindre le pire pour la fin de semaine...Faudra quand même s'avaler plus de 400 km...ceci dit, j'ai hâte d'y être ! Raphouille, faudra que tu m'appelles quand t'es de retour d'Allemagne afin qu'on puisse régler les derniers détails ensemble.
A bientôt les amis.

mercredi 4 août 2010

Reprise...action !

Aujourd'hui, petite balade en direction de Hordain pour aller visiter la maison récemment achetée par mon collègue de boulot, Marco. Départ sous la pluie, dur dur... 38 bornes avant de pouvoir me reposer chez Marco et reprendre des forces en mangeant une bonne petite pizza arrosée de soda dont je tairai le nom ;-)
Une petite promenade avec MArco d'une bonne vingtaine de kilomètres en direction du site minier de Lewarde. Puis retour en force avec vent 3/4 dos (ouf). 100 km au total dont une trentaine sous la pluie...
Les jambes sont un peu dures et les fesses me font mal (c'est normal docteur?)... du coup le verdict est sans appel : je ne suis pas encore prêt pour le 15 aout... :-(
Demain fitcycling avec les copains. Parait que c'est pas facile. Jvous tiendrai au courant.
A plus

lundi 2 août 2010

Cucq - Cassel : la proposition.

Alors que pensez-vous de ce parcours ?



Et voici le profil :